Mondialisme et mondialiste...

Chacun pourra remarquer qu'une parole spirituelle peut très vite se dénaturer entre les mains de quelques personnages ténébreux et mal intentionnés. Ainsi, ils transforment le bel Or en plomb et pèsent lourdement sur les peuples naïfs qui, épuisés sous la charge, ne cherchent même plus les causes de leurs malheurs, ne pensant qu'à survivre.

Voilà donc nos ténébreux mondialistes prônant l'amour universel inconditionnel, brisant toutes frontières pour ne faire qu'un seul peuple. Un marché entièrement libre de toute frontière leur assurant davantage d'échanges dans un profit sans limite. O, bien sûr! ils savent très bien que cela créera des communautés qui s'affronteront sans cesse, mais c'est aussi ce qui distraira les peuples inquiets de toutes ces violences et les empêcheront de tourner le regard vers les véritables responsables de tout ce capharnaüm.

Le peuple commence lentement à comprendre la perversion de ces mondialistes ténébreux et envoûtant de belles promesses. Tout comme le serpent qui nous fascine et voulons voir de plus prêt, malgré les frissons dans le dos qui nous préviennent du danger. Le poison fait déjà son effet et serpente dans l'économie de chaque pays pour en détruire chaque jour une entreprise, un artisan, un agriculteur. La Grèce est déjà à l'agonie et les pays du Sud de l'Europe la rejoignent dans des douleurs toujours plus vives. Les serpents de la finance continuent de distiller leurs venins dans le sang du peuple qu'est l'économie de chaque pays.

Pourtant, si le peuple voulait se tourner vers les plus sages, ils verraient que le Mondialisme est la plus belle des choses lorsque le "profit" n'est plus l'unique préoccupation. De Gaulle en parlait comme l'Europe des nations, où chacun avec ses frontières pouvait légitimement en contrôler les entrées et sorties. Contrôle des marchandises comme des personnes pour limiter les abus de toutes sortes. Un pays avec ses frontières, c'est comme une famille dans sa maison, qui peut accepter d'y faire entrer uniquement ce qu'elle veut ou qui elle veut et rien ne l'empêche d'aller rendre visite à d'autres familles amies, que ce soit pour y faire du commerce ou simplement des échanges d'idées.

Mais les gouvernements, sous la botte fasciste de la finance, vous diront que c'est là une vision raciste et xénophobe. Que c'est votre peur de l'autre qui vous fait vous enfermer dans des frontières avec barbelés et miradors. Ne les écoutez plus !

Tout comme un corps humain, un pays possède une âme et y faire entrer d'autres entités plus ou moins bien intentionnés, ce n'est rien de moins que devenir comme possédé et ne plus rien contrôler. Il est peut être temps de jouer à l'exorciste et de renvoyer ce diable de la finance sous notre botte, endroit dont il n'aurait pas fallu qu'il se libère.